LE TOUR DE FRANCE 1993

 

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Les I.S. relatives au Tour de France sont utiles à plus d’un titre :

  • D’abord, étant géographiques, elles permettent de par leur disposition de confirmer, même grossièrement, certains tracés à réaliser sur la Michelin 989, comme par exemple celui de la flèche d’Apollon de la 420 ;

  • Ensuite, l’I.S. concernant l’étape du 24 juillet (en fait, un transfert des coureurs en TGV) apporte un renseignement important, à savoir l’existence d’au moins 4 traits distincts à tracer, flèche d’Apollon mise à part puisque celle-ci est dans un tout autre coin du territoire.

À l’époque où elle était encore disponible sur Internet (ce n’est plus le cas depuis longtemps), j’avais capturé la carte officielle du Tour 1993, parce que c’est très certainement le document dont Max s’était servi à l’époque pour écrire ces I.S. J’ai ensuite renseigné cette carte en y positionnant aussi précisément que possible les lieux concernés (Bourges, Roncevaux, Golfe Juan, Cherbourg, Dabo), puis en y traçant le célèbre (à tort ou à raison) « grand X » de la Chouette, et la flèche d’Apollon de la 420.

Je n’ai pas fait figurer les deux orthogonales possibles (pour ne pas faire de jaloux!) : ces tracés-là ne sont pas concernés par les I.S. Tour de France puisque dans les deux cas, leur origine est à Carignan (voir énigme 500).

À l’examen des tracés, on comprend que Max recommande de ne pas joindre les villes-étapes par de simples droites mais de suivre le parcours effectif des étapes, au moins dans ses grandes lignes (c’est d’ailleurs très exactement ce que fait la carte officielle, une raison de plus pour penser qu’elle fut bien l’outil utilisé par Max) : en effet, comme vous le verrez, les recoupements sont parfois ténus... mais ils existent bel et bien, et c’est tout ce qu’on leur demande !

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