LES ÉNIGMES DE LA CHOUETTE D’OR

 

500

UT QUEANT LAXIS


A 2424-42-424-44-224-24-42-24, emprunte l’orthogonale.

Pour trouver la Spirale à quatre centres,

560.606 mesures, c’est loin.

Mais par le Méga, c’est un million de fois moins.

Synthèse des madits du Fig-Mag :
L’une des deux lignes nécessaires pour construire l’orthogonale est connue avant l’énigme 500. L’orthogonale ne concerne directement que l'énigme 500.
560 606 mesures se comptent à partir de 2424-42-424-44-224-24-42-24.
La Spirale ne figure pas sur le visuel de cette énigme.
Le mot « méga » n’a qu’une seule signification.
Le mot « mesure » apparaît dans cette énigme, mais ce n’est pas la première fois que vous rencontrez la mesure dans le jeu.
La longueur totale de la règle, l’écartement des branches du compas et l’ombre de l’équerre sur le visuel n’ont aucune importance.

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Cette énigme est assez simple à trois conditions :

  1. Connaître la mesure trouvée en 780 (le pied métrique de 0,33 m, à mon avis) ;

  2. Avoir tracé en 470 la ligne Roncevaux-Bourges (éventuellement prolongée). La synthèse Fig-Mag dit « connaître » et non « tracer » pour rester en accord avec le précepte selon lequel la carte n’est pas nécessaire avant la présente énigme ; et surtout

  3. Avoir le déclic, l’astuce qui nous permettra en fin d’énigme de comprendre ce qu’est la Spirale à quatre centres.

Premier élément : le 2424... etc. Nous inspirant de l’immanquable morse du visuel, nous supposons que 2 vaut point et 4, trait. Loupé. Le bon sens serait-il celui du contresens ici aussi ? Allez, on essaie l’inverse. Avec 2 = trait et 4 = point, ça marche et le décryptage donne : CARIGNAN, chef-lieu de canton des Ardennes.

560.606 mesures, c’est 560.606 × 0,33 = 184.999,98 m que nous arrondissons à 185 km, en notant au passage que la précision nous confirme que nous avons la bonne mesure.

Puisque Méga égale million et qu’en passant par le Méga, la Spirale est un million de fois moins loin, elle est donc à 185 km ÷ 1.000.000 = 0,000185 km, soit 18,5 cm de Carignan. Quant au « passage par le Méga » lui-même, on comprend facilement qu’il s’agit dorénavant d’utiliser une carte à l’échelle 1:1.000.000, et l’I.S. FNAC nous apprend que la bonne est la Michelin 989.

En étudiant cette carte, nous réalisons, ô surprise ! que Carignan se trouve sur le prolongement du trait joignant Roncevaux à Bourges... Quand je dis « sur », j’exagère un peu : en fait, de multiples tracés hyper-précis sur de multiples 989 papier et plastifiées démontrent que, si le trait passe exactement au milieu du petit polygone qui figure la ville de Bourges sur cette carte, on laisse Carignan à l’est de plusieurs millimètres. Il faut faire passer notre trait sur la partie sud-est de ce petit polygone pour atteindre le petit rond symbolisant Carignan, mais cette légère approximation est tout à fait tolérable : dans une célèbre QR qu’il me semble légitime d’appliquer au présent tracé, Max dit : « En plein par l’Ouverture ou pas en plein par l’Ouverture mais par l’Ouverture quand même, c’est pareil ! ».

À la suite de multiples débats, toujours, recommencés, sur la question de savoir si Roncevaux, Bourges et Carignan sont ou non alignés, j’ai résolu de mettre en ligne une nouvelle page afin de démontrer que tel est bien le cas—tout en sachant bien qu’il n’est de pire aveugle...

Nous avons donc utilisé le morse du visuel, et nous utiliserons la règle et l’équerre pour tracer l’orthogonale. Nous remarquerons en passant que les graduations de la partie visible de la règle, dont Max a dit qu’elles étaient importantes, sont au nombre de... 18,5, justement— nouvelle confirmation, indirecte celle-là, de l’exactitude de la mesure. Mais la portée musicale et sa clé de sol, qu’en faisons-nous ? Et le titre, Ut queant laxis ?

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Ut queant laxis

Cette phrase latine est le premier vers d’un chant liturgique écrit au XIème siècle par le moine Gui d’Arezzo, L’hymne à Saint-Jean Baptiste. Cet hymne, dont les qualités musicales propres n’ont rien d’époustouflant, est passé à la postérité car chacun de ses vers commence sur une des notes de la gamme, la 1ère syllable de chaque vers ayant donné son nom à la note en question (à l’exception du dernier où l’on prend les initiales de Sancte et Iohannes) :

Ut queant laxis
-->
Ut (Do)
Resonare fibris
-->
Mira gestorum
-->
Mi
Famuli tuorum
-->
Fa
Solve polluti
-->
Sol
Labii reatum
-->
La
Sancte Iohannes
-->
Si

Selon la même source (Quid), le si aurait été ajouté à la fin du XVIème siècle par Anselme de Flandre, le do n’apparaissant (et devenant synonyme d’ut) qu’en 1673 avec l’Italien Bononcini.

À quoi cela nous sert-il dans l’énigme ? Bonne question. L’hymne à Saint-Jean était-il écrit en mesure 2/4 ? Je n’ai pas pu en trouver confirmation. Et quand il le serait ? Max dit que le titre doit être compris au début de l’énigme, « afin d’avoir une idée sur la façon de la décrypter », mais le morse du visuel suffisait largement pour penser au code du même nom et trouver Carignan... S’agit-il de comprendre que, dans une mesure à 4 temps, il y a 4 noires (notes brèves) ou 2 blanches (notes plus longues), ce qui nous permettrait de déduire l’inversion 2 (petit chiffre) = trait (signe long) et 4 (grand chiffre) = point (signe court) ? Possible. Probable, même. Mais encore une fois, avec un morse aussi « hénaurme », pas besoin d’en remettre une couche pour qu’on comprenne de quoi il s’agit, et puisqu’il n’y a que deux solutions possibles (2 = point ou 2 = trait), on en a vite fait le tour !

Quant aux autres éléments du visuel (portée, règle, équerre, compas), on peut les déplacer séparément ou ensemble n’importe où et n’importe comment, leurs positions et orientations (absolues ou relatives) étant sans importance. La seule chose qui compte, c’est que les graduations de la règle ne soient pas masquées—nous avons vu plus haut pourquoi.

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Qu’y a-t-il
au bout de l’orthogonale ?

Si, comme moi, vous n’aviez jamais entendu parler de spirale à quatre centres avant de chercher la Chouette, cette lacune ne survivra pas à la 500 ! La première chose est donc de savoir ce qu’est une telle spirale par rapport, disons, à un banal escalier en colimaçon ou à un colimaçon lui-même... Pour ce faire, je vous propose de visiter ma page Spirale.

Cet apprentissage étant fait, reste à savoir si cette fameuse spirale doit être tracée ou trouvée (sur la carte ou ailleurs). Max a toujours refusé de le dire, et on pourrait penser que le compas du visuel est là pour nous suggérer de la tracer. Toutefois, le doute est, à mon sens, très vite levé par un madit imparable selon lequel la spirale est « toute entière sur l’orthogonale à 560.606 mesures », et qu’en particulier, « elle ne frôle pas l’orthogonale ». En effet, si nous devons la tracer nous-mêmes, elle aura forcément un certain développement, elle occupera une certaine surface sur la carte. Elle ne sera donc plus « toute entière » à 560.606 mesures... D’ailleurs, Max lâche quasiment le morceau, car quand on lui dit que, géométriquement, il est impossible de tracer une spirale toute entière sur une droite, il répond : « À vous de parvenir aux bonnes conclusions... mais bon, cette conclusion n’est pas trop difficile à trouver ! ».

Postulons donc qu’il faut la trouver sur la carte, à 18,5 cm de Carignan sur la perpendiculaire au trait Roncevaux-Bourges-Carignan tracée à partir de ce dernier lieu. Deux options sont possibles : vers le sud-est et vers le nord-ouest. C’est probablement ce que le compas veut nous suggérer : l’orthogonale dans son intégralité est le diamètre du cercle de centre Carignan, et pas seulement l’un de ses rayons... ce qui est aussi une manière d’entretenir le doute dans les esprits. Ici encore, Max nous aide : « Si vous avez deux options, l’une d’elles s’annulera forcément ! ».

L’orthogonale sud-est a la préférence d’un grand nombre de chercheurs, car à son extrémité se trouve le lieu qui a fait couler le plus d’encre parmi les chasseurs de Chouette : Dabo.

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Dabo

Dabo, petit village de Moselle à la limite du Bas-Rhin, divise les chasseurs de Chouette depuis des années. Il est en effet doté d’un très remarquable rocher surmontée d’une chapelle dédiée à Saint-Léon.

Or, ce rocher, photographié sous un certain angle par une nuit sans lune (bon, je plaisante, disons donc « dans certaines conditions d’éclairement »!), fait un très présentable NNP (voir la 600), comme le montre la photo ci-dessous, empruntée au site de Mickey (www.ilotresor.com), chef de file de l’école daboïste et sur lequel vous pourrez trouver toutes les informations possibles et imaginables sur Dabo. Mickey est allé à Dabo des dizaines de fois et en sait davantage sur le sujet que tout le personnel de l’Office de Tourisme réuni (voir aussi ma Page Dabo) !

Si Dabo est le NNP, il est bien tentant de voir dans la chapelle Saint-Léon la Nef encalminée de la 560... et comme justement, la route d’accès au rocher est en spirale, comment résister à la tentation d’y voir « la » Spirale...? De plus, Dabo est aussi le point d’atterrissage de la flèche d’Apollon dans la 420 !!

Oui, comment résister ? De très nombreux chasseurs ne l’ont pas fait et si j’ai, personnellement, choisi de le faire, c’est, bien longtemps avant d’avoir résolu la 500, en raison d’une conviction très forte : nous sommes engagés dans une chasse de très longue haleine, composée de très peu d’énigmes mais qui nous balade d’un bout à l’autre de la France, voire hors des frontières ; nous passons dans des lieux où nous ne nous attardons pas, et lorsque nous devons y revenir, on nous le dit et ces lieux ou concepts prennent une importance considérable (l’Ouverture, la Lumière, le NNP/Nef).

Et dans ce contexte, fait tout ensemble de concision et d’ampleur, où l’auteur n’a ni la place ni sans doute le goût de se répéter, Dabo serait à la fois le NNP, la Nef, la Spirale et le point de chute de la flèche d’Apollon, ces deux derniers lieux étant au surplus donnés par deux énigmes successives qui sont, en tous cas de prime abord, parmi les plus simples du jeu ?

C’est trop. D’abord, il est intellectuellement impensable que Max ait concentré autant de concepts sur un seul lieu ; c’est ce que les Anglo-Saxons appellent de l’overkill, comme balancer 10 bombes nucléaires là où une suffirait à anéantir toute vie. Ensuite, à supposer qu’un lieu unique ait une telle importance et soit l’aboutissement d’autant d’énigmes (40 % du total!), Max ne serait pas allé le « crier sur les toits » comme on peut considérer qu’il le fait dans la 500 et dans la 420... en faisant trouver Dabo par des solutions aussi simples (à l’échelle de la Chouette, bien sûr).


Une autre photo du rocher de Dabo... dans certaines conditions d’éclairement :o)

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Dabo, donc, n’est pas la Spirale. D’ailleurs, comment démontrer qu’une route en spirale, si parfaite soit-elle (et ce n’est pas le cas de celle de Dabo) est à quatre centres ? Même le plus expert des daboïstes n’a jamais pu expliquer pourquoi la spirale de la route de Dabo serait à quatre centres plutôt qu’à 3, 5 ou 10, ni où se trouveraient les 4 centres en question !

J’ai bien pris note du fait que Max n’a jamais voulu donner pour Dabo une localisation négative comme il a pu le faire pour le Mont Saint-Michel ou la forêt de Brocéliande (voir la page I.S.), mais c’est à mon sens, tout simplement, pour ne pas décourager les très nombreux chasseurs qui y croient dur comme fer. Réflexe un peu « commercial », les chercheurs ayant aussi été des clients à l’époque du 3615 MAXVAL ? C’est possible, mais comment l’en blâmer ? Max est un auteur professionnel qui vit de ses chasses, et après tout personne n’était obligé d’aller lui poser des questions par Minitel !

Cela étant, et même sans localisation négative formelle, Max a quand même bien voulu lâcher, à propos de la Spirale, que « à ce niveau, certains chasseurs se sont peut-être laissés entraîner sur une fausse piste... ». C’est, à mon avis, amplement suffisant.

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Bon, mais alors, la Spirale, c’est quoi ?

Je me suis longtemps refusé à indiquer publiquement sur ce site quelle était, selon moi, la Spirale. J’expliquais ici même qu’ayant pris totalement congé des chasses au trésor entre janvier 2000 et janvier 2002, et être resté au total plus de trois ans sans toucher à la Chouette, j’essayais de « rattraper mon retard » et ne désirais donc pas dévoiler cet élément.

Depuis, les choses ont évolué. Ma vie personnelle et mes autres occupations (dont mes occupations « para-chouttesques », telles que le tournage du film La Grande Aventure de la Chouette d’Or), font que, depuis près d’un an (j’écris ceci en novembre 2004), je n’ai plus le temps de chercher sérieusement la Chouette.

De plus, en lisant le forum, je vois de temps à autre quelqu’un faire de la publicité pour ce que je considère être la « bonne » Spirale : il n’y a donc plus vraiment de raison pour moi de garder le silence.

Reprenons donc les choses au début, en nous aidant des madits et de quelques photographies. Que cherchons-nous ?

Nous cherchons une entité baptisée par Max « Spirale à quatre centres », qui est toute entière sur l’orthogonale et à 18,5 cm de Carignan sur la carte Michelin 989. Cette notion d’entièreté exclut tout traçage sur la carte, puisqu’une spirale tracée, du seul fait de son développement, ne serait plus toute entière sur l’orthogonale (qui est une droite), mais en déborderait largement. La Spirale doit donc être trouvée—pas tracée.

Max précise que la Spirale « n’est pas vraiment difficile à trouver » et qu’il y faut « autant d’astuce que de logique ».

Prenons donc la carte et regardons où les tracés nous conduisent...


Mise en place de l’orthogonale (partie nord-ouest)
Pour voir cette photo en grand format, cliquer dessus. Le lien de retour vous
ramènera directement ici (procédure applicable à toutes les images ci-après).
ATTENTION : les photos grand format seront longues à télécharger !


On distingue sous la règle transparente l’appellation « Carignan ».

Une fois l’orthogonale tracée à l’aide de l’équerre vers le nord-ouest, prolongeons-la vers le sud-est pour disposer des deux « branches » complètes, sachant qu’on n’emprunte l’orthogonale que dans une seule direction puisqu Max précise : « Si vous avez deux options, l’une d’elles s’annulera forcément » ; ou encore : « Procédez par élimination et vous trouverez la bonne réponse assez rapidement ». À 18,5 cm de Carignan vers le sud-est, voici ce que j’obtiens :

 

Le résultat côté Dabo n’est donc pas très convaincant graphiquement. On aurait pu éventuellement l’admettre si le raisonnement l’avait été, convaincant, mais ce n’est pas le cas, comme on l’a exposé plus haut.

Regardons donc ce qu’on trouve à 18,5 cm de Carignan vers le nord-ouest :

Le point d’arrivée est donc situé dans le « pâté jaune » de l’agglomération lilloise. Regardons de plus près sur une carte d’approche au 1:200.000 :

Comme on le voit sur l’agrandissement, 18,5 cm depuis Carignan nous emmènent en bordure de l’agglomération lilloise, à proximité immédiate, non pas de Villeneuve d’Ascq, mais d’un quartier péri-urbain dénommé simplement Ascq, qui était encore un village distinct la fin de la Seconde Guerre mondiale, comme le montre la photo ci-dessous, prise au Mémorial de Caen.

À mon sens, c’est ce lieu, Ascq, qui représente dans la Chouette ce que Max Valentin appelle « Spirale à quatre centres ». Bien entendu, il n’y a à Ascq, autant que je le sache, aucune spirale physique mais cela est sans importance : appeler un lieu « Spirale à quatre centres », c’est lui donner un acception symbolique dans le cadre du jeu, sans référence nécessaire à une réalité physique (tout comme Bourges a été baptisée « Ouverture »). Max voulait nous faire trouver Ascq, et pour y parvenir il a utilisé un cryptage très simple (l’acrostiche), légèrement compliqué par le mélange des lettres mais qui, surtout, requiert de l’astuce.

En effet, mis en présence d’un concept géométrique très précis et abouti tel qu’une spiale à quatre centres, il faut savoir s’en abstraire complètement et réfléchir out of the box, comme disent nos amis Anglo-Saxons—en dehors des étroites limites de la petite boîte dans laquelle l’auteur a voulu nous enfermer.

Ce n’est qu’à cette condition qu’on peut trouver la solution et cette démarche, me semble-t-il, illustre très bien la manière de faire de Max, et la démarche à adopter pour espérer trouver la Chouette.

Ascq est donc une solution astucieuse, trouvable même si on ne connaît pas la mesure (il suffit de suivre l’orthogonale et de voir à poximité de quoi elle passe), n’est pas vraiment difficile à trouver... Bref, cette solution est en conformité parfaite avec les madits existant sur le sujet. De plus, utilier l’image d’une spirale pour se référer à Ascq permettait à Max de solidifier la fausse piste de Dabo.

L’argument ultime, qui forge définitivement ma conviction, est très intéressant car de nature psychologique et donc propre à « trahir » l’auteur sans qu’il y puisse grand-chose.

Voici quel est cet argument : pendant des années, Max a passé des dizaines de milliers d’heures à taper sur un clavier de Minitel pour répondre aux questions des chercheurs. Ceux qui ont pratiqué le Minitel savent à quel point ce clavier était peu confortable et rébarbatif à utiliser ; pourtant, Max était obligé de s’en servir de manière extrêmement intensive, jour après jour... Les chercheurs avaient donc inventé toute une série d’abréviations, à la fois pour rester connectés le moins longtemps possible (car cela finissait par coûter fort cher), mais aussi pour pouvoir faire tenir des questions parfois longues et complexes dans un espace de quelques lignes de 40 caractères.

Max connaissait fort bien ces abréviations (il en fit même un lexique dans les solutions du Trésor d’Orval), parmi lesquelles figurait bien sûr « SAQC » pour « Spirale à quatre centres ». Et pourtant... pas une fois Max n’a utilisé cette abréviation ! Pas une.

Ou plutôt si : une fois. Pas SAQC (quand même !), mais S4C. Et quelle a été sa réaction quand on le lui a fait remarquer ? « J’ai eu tort ! » s’est-il exclamé. Et pourquoi diable aurait-il donc eu tort ? Tort d’avoir, sans réfléchir, parce qu’il était fatigué et a repris machinalement dans sa réponse l’abréviation de celui à qui il répondait, utilisé machinalement une expression bien trop proche de la solution de l’énigme...


Détail du tableau original photographié chez Michel Becker

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